Il est primordial de faire la nuance entre ce qu’on fait et ce qu’on veut. On peut très bien vouloir le bien et faire le mal. Attention, cela ne doit pas légitimer le fait de s’adonner au mal, à D.ieu ne plaise, je veux simplement préciser qu’il faut faire la part des choses, ni plus ni moins. Lorsqu’on a le choix entre le bien et le mal, il faut choisir le bien, cela est évident.
Même si une personne affirme qu’elle a tout essayé pour ne plus faire une Avéra et qu’elle finit toujours par craquer, la première des choses à savoir est que son libre-arbitre démarre sur le fait que quoi qu’elle pense, elle n’est pas obligée de commettre cette Avéra. Si malgré tout elle finit par la faire, elle ne doit pas pour autant perdre ce qui lui reste de son libre-arbitre, c’est-à-dire vouloir le bien. Car encore une fois, il est impossible que quelqu’un lui enlève la possibilité d’avoir cette volonté, même si elle va en boîte par exemple.
La Paracha de la semaine : Vayigach – Enseignements de Rabbi Nahman de Breslev
Un Moment Crucial dans l'Histoire de Yossef et de ses Frères La...
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