Le Talmud rapporte que le verset « II le fera vraiment guérir » signifie que le Créateur a accordé au médecin le pouvoir de guérir. Il faut souligner que le médecin est autorisé à guérir et non à provoquer le désespoir ! Dans de nombreux cas, le médecin fait peur au malade et à sa famille en leur dépeignant une image alarmante de l’avenir. Il leur ôte tout espoir, ne donne au malade aucune chance, et l’informe même qu’il lui reste tant et tant de jours à vivre, etc. C’est une terrible erreur ! Comme le savent tous ceux qui se consacrent à la recherche médicale, la joie est la condition indispensable à la guérison. Elle renforce l’ensemble de la constitution physique, à tel point que s’est développée récemment une méthode thérapeutique destinée aux maladies mortelles, basée uniquement sur la joie. Rabbi Nahman de Breslev écrit à ce propos : « C’est un grand précepte d’étre constamment joyeux, de se maitriser, et d’éloigner la tristesse et la bile noire de toutes ses forces. Toutes les maladies de l’homme ne sont causées que par la perte de la joie. » On comprend donc que le malade qui se renforce dans sa foi et dans son espérance augmente ses chances de guérison. Non seulement le médecin ne doit pas décourager le malade, mais au contraire une de ses fonctions les plus importantes consiste à se soutenir, le réjouir, le renforcer dans l’espérance et la foi. Puisque le malade se lie aux connaissances du médecin, ses mots de soutien ont plus d’impact que s’ils provenaient de toute autre source. Il faut bien savoir que l’aide et le soutien spirituel concourent à la guérison du malade bien davantage qu’un soutien physique.
Nouvelle clé pour obtenir toute délivrance !
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