Nous approchons de la fin de la Torah, et en ce chabbat si fort de Chabat Chouva, Chabbat Techouva, Moché Rabenou nous dit du peuple juif que nous sommes véritablement la part de D.ieu, le lot de son héritage, son cadeau.
Il nous protège comme un aigle protège ses petits en les portant sur ses ailes au risque d’être lui-même attaqué par en bas.
L’aigle est, en effet, l’oiseau qui vole le plus haut. Qui donc peut dépasser Hakadoch barouh Hou ?
Enseignement de Rabbi Nahman
Ici Rabbi Nathan dans le likoutey Tfilot nous dit que cette Paracha Haazinou, constitue le chant grâce auquel, Moché Rabbénou promet à D.ieu que la Torah ne sera jamais oubliée : “Car ce chant portera témoignage” (Devarim 31).
Enseignement du Yénouka
Parfois Hachem se cache de nous à cause de nos fautes.
Le Yénouka dit que “les péchés et les méfaits sont comme un rideau séparant l’homme d’Hachem” et plus l’homme est fautif , plus le rideau s’épaissit.
Et D.ieu nous dit alors : “et Moi, Je persisterai à dérober Ma face”
La face d’Hachem étant le reflet de Sa bonté et de Sa miséricorde.
Dans l’obscurité
Ici Rabbi Nahman nous dit que c’est justement dans ces moments-là que ce chant de la Paracha Haazinou sera notre témoin et, que même éloignés, nous n’oublierons jamais Hachem et Sa Torah.
Même dans les moments les plus bas, les plus difficiles où Hachem ne peut que se cacher, lorsque Israël sera très éloigné de D.ieu, au plus profond de la hastara, ils resteront, malgré tout, très proches de Lui.
Car même le plus petit d’entre nous, le plus éloigné, on peut lui trouver des points positifs et c’est ce qui revient à “et le lot du Seigneur, c’est Son peuple Yaakov “ qu’il a trouvé dans le désert.
Trouver le bien
En effet, Hachem nous a délivrés alors que nous étions dans le désert, le désert de la Kedoucha, arrivés au 49ᵉ degré d’impunité.
Pourquoi ? Car Lui voyait le bien en nous, celui qui restait malgré notre assimilation, malgré l’obscurité qui régnait, Il savait aussi le bien qui sortirait de nous.
Et c’est ça la fierté et le cadeau de D.ieu, que nous restions, coûte que coûte, attachés à Lui, le recherchant.
Si D.ieu, la perfection incarnée est capable de voir le bien en nous quand nous sommes au plus bas, comment pourrions-nous, nous, être rancuniers et juger notre prochain sur ses erreurs et non pas en relevant le positif qui est en lui ?
Une période cruciale
Voilà pourquoi, au cours de cette période cruciale des 10 jours de Techouva, où nous réparons l’année précédente et dessinons l’année à venir par nos actes, et, précisément ce chabbat qui nous permet de réparer tous les chabbat précédents, nous allons donner le meilleur de nous-même pour un chabbat royal, majestueux, rempli d’amour, de joie de chants de Torah et nous ferons TOUT pour établir le chalom et voir le bien en chacun.
Comment sortir de l’exil ?
L’exil étant ici le symbole du Juif soumis aux nations du monde, le juif attiré par les coutumes goys, attiré par les mauvais désirs, le juif soumis à son Yetserara.
Comment en sortir et faire rejaillir le bien qui est en nous ?
Rabbi Nathan nous dit ici, que c’est par le biais de la Tsédaka que nous nous relèverons et que nous arriverons à écouter les paroles des Tsadikims.
En effet, un bien inhérent au peuple juif que personne ne pourra nous retirer, c’est le bon cœur de chaque juif. Chaque juif est bon et veut véritablement le bien dans son cœur.
Par le biais de la Tsédaka, le Don à l’autre, le juif va sortir de ses ténèbres et relever les défis de la vie pour combattre son Yetserara grâce aux conseils des Tsadikims.
L’importance du Chabat
Nos Sages expliquent que le premier homme a été créé à Roch Hachana (Zohar III), après quoi il a immédiatement commis une faute, se rendant passible de mort.
Cependant, par le mérite de la techouva qu’il fit Chabbat (Beréchit Rabba) – jour saint qu’il accueillit par son « Cantique en l’honneur du Chabbat», il échappa ainsi à la mort.
Ce chabbat Chouva, nous ferons donc très attention de le respecter le mieux possible et d’en profiter pour faire une techouva sincère.
La priorité dans cette période de 10 jours de Techouva
1- Faire la paix.
Il faut savoir se remettre en question, et pardonner les erreurs des autres comme on aimerait que D.ieu nous pardonne.
Il faut aussi savoir demander pardon et donner de l’amour et encore de l’amour et encore de l’amour et des attentions à ceux qui en ont besoin.
2. Faire Techouva
Il faut établir la liste à l’oral ou à l’écrit de nos péchés commis durant l’année, parfois même avant, et demander sincèrement à Hachem PARDON.
Ce point est indispensable pour être pardonné, il faut reconnaître nos fautes devant D.ieu à l’oral et se faire pardonner en promettant de tout faire pour ne pas recommencer.
Il faut s’engager à étudier davantage la Torah car c’est le remède au Yetserara comme il est dit :”Je t’ai donné un mauvais penchant, mais je t’ai également donné son remède qui est la Torah associée à la prière.
3. Faire la Tsédaka
Essayer de faire un maximum de hessed et de Tsédaka dans cette période, car c’est ce qui annule les mauvais décrets.
“Celui qui fait du bien aux autres alors, on lui fait du bien”.
Gmah hatima tova, que vous soyez sellés dans le livre de la vie.
L’équipe Joie2vivre.org
C est la vérité on doit tous ce renforcé dans la téchouva on fautes tous car se yesarra est tros forts mais bien sûr il faut crier vers Hachem et lui demandé pardon chaque jours de nos fautes pour qu’il nous aide à reste sur son chemin et fermé notre salle bouche que dieu fasse de nous aide à tous et tout le Am Israël Amen et tous ensemble la main dans la à faire téchouva bh pour acceullir Machia car il est à la porte et Ha chem pourras enfin dévoilé sa lumière Amennn merci à Rav Harouch pour tout ce temps passé pour écrire tous c est livres et tout c’est ensaignement que Hachem le bénisse lui donne la santé ad 120 ans bh pour continué à nous aidé à tous et à vous tous qui l acompanies Chabbat Chalom et que bh nous soyons tous inscrits dans le livre de la vie Amennnnn