Le traité Ta'anit rapporte deux histoires qui soulignent l'importance des simples actions :
La premiére histoire raconte l'épidémie qui s'abattit sur la ville de Sura, à l'exception du quartier ou vivait un Rav, ou personne ne fut atteint. 
Les gens pensaient que le mérite de Rav avait protégé ce quartier. Ils virent tous le même rêve et on leur annonca que le mérite de Rav était certes trés grand, mais qu'il n'avait pas servi. On avait préféré celui d'un homme simple qui prétait sa pioche pour enterrer les morts. 
Ce fut le mérite de cette bonne action accomplie avec un coeur pur qui protégea tout l'entourage de cet homme.

La seconde histoire ressemble à la première, car elle relate un incendie qui se propagea dans la Ville de Darkeret et qui brûla toutes les maisons, sauf celles avoisinant l'habitation de rav Houna et qui ne fut pas du tout touchée. Comme on pensa que le mérite de rav Houna avait protégé son entourage, on fit donc aussi savoir par un rêvé à ceux qui pensèrent ainsi, que le mérite de rav Houna était certes trés grand, mais qu'on s'était servi de celui d'une femme qui possédait un grand four qu'elle chauffait et laisser à la disposition de ses voisines.