Dans le traité Chabbat (1221.15), la Guemara enseigne que celui qui vient visiter un malade le Chabbat doit lui dire: « Le Chabbat pent te faire miséricorde. » Cela veut dire littéralement que le Chabbat a la propriété de guérir. Notre saint maître explique la profondeur de cette parole de la façon suivante (LikoutéMoaran,119): « Lorsque l'homme a besoin de la clémence divine, HaChem la lui envoie afin qu'il soit clément envers autrui, et ainsi - en retour on est clément pour lui, comme il est dit(Chabbat151b): Celui qui est miséricordieux pour les autres reçoit lui-même la compassion, comme il est écrit (Deutéronome13,18): Qu'il te prenne en pitié et que tu sois miséricordieux. » L'attribut de miséricorde dépend de la connaissance, et celui qui en possède est miséricordieux. Car la colére, qui est l'opposé de la miséricorde, découle de la folie, comme il est écrit (Ecclésiaste7,9): « La colére est une demeure au sein des fous. » Et nos Sages de mémoire bénie ont déclaré (Bérakhot 33) : « Celui qui est privé de la connaissance n'est pas digne de pitié. » Il en résulte que le malade qui requiert la miséricorde doit avoir pitié des autres. Or cela dépend de sa connaissance.
HANNOUKA: Qui donne l’élan au mouvement du monde ?
Nous vivons une époque saisissante, marquée par une accélération...
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