En règle générale, chaque priére doit nécessairement découler de la joie, car comme rabbi Nathan l’écrit à la loin précitée, la joie est la foi : «On juxtapose la lecture du Chema à là bénédiction Gaal Israël avant la priére silencieuse, parce que cette lecture représente la foi, la foi étant l’essentiel et la finalité de la joie, comme il est écrit (Ps. 104) : «Je me réjouis en HaChem» et comme dit notre maître, la foi est un aspect des visages illuminés c’est-à-dire un aspect de la joie. On parvient à la foi lorsqu’elle s’unit à la vérité (voir sur place). La lecture du Chem’a, à savoir «HaChem est Un» représente l’union de la vérité et de la foi, c’est-à-dire la finalité de l’union qui éveille la joie, comme cela est écrit plus haut. Lorsque la joie s’éveille on se léve pour prier, et la joie touche alors a son comble: c’est l’union avec HaChem béni soit-Il et la finalité de la joie que de se réjouir en Lui. Car, comme on le sait, la priére est un aspect de l’union.» (fin de citation).
Et rabbi Nathan de conclure : «Tous les dommages sont causés par un manque de joie. La priére dans la joie est un remède et un salut pour tout !»
Prière du Rav Arouch pour la protection des soldats et d’Israël 2024
Comme nous le savons, Israël et le peuple juif tout entier sont en...
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