On peut transgresser l’interdiction de médire par la parole comme par l’écrit. Des informations diffamatoires divulguées dans des lettres personnelles, dans des livres, dans des journaux, ou dans des affiches relèvent toutes du lashon hara.
“Mieux vaut être considéré comme un fou par les hommes, qu’un seul instant pécheur aux yeux du Tout Puissant ” Talmud Ed 5.6
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