Miracle du Tsadik Rabbi Yaakov Abouhatsira

20Tevet, hiloula de Rabbi Yaakov Abouhatsira et du Rambam

Un tsadik à tous les niveaux

Rabbi Yaakov Abouhatsira Zatsl,que son mérite nous protège, dont la hiloula se fête le 20 Tevet, un immense tsadik du Maroc, le grand-père de Baba Salé était non seulement un homme versé dans la prière, d’une grande sainteté, il protégeait ses yeux de visions impudiques, il étudiait la Torah jour et nuit mais aussi, il se souciait aussi des plus démunis.
Il entreprenait souvent des voyages difficiles et très dangereux pour récolter de l’argent pour les pauvres.

Une histoire très connue nous montre la grandeur de ce Tsadik et surtout la grandeur de la Torah, car seul un homme qui marche à 100% dans les voies de D.ieu peut accomplir de tels prodiges.

Il n’a peur de rien

Comme à son habitude, il partit loin pour récolter de l’argent pour les pauvres de sa ville, employa un guide arabe pour l’aider à tirer son âne et le diriger.
Ce que le Tsadik veut, Hachem le veut aussi, il réussit donc à ramasser une grosse somme d’argent.
Sur le chemin du retour, il demanda à son serviteur de passer par un chemin plus court pour rentrer chez lui, car son temps était bien évidemment compté et il ne pouvait pas se permettre de perdre une minute.
Le serviteur lui expliqua que ce chemin était impraticable car bien connu pour être emprunté par de dangereux voleurs assoiffés d’argent.
Rabbi Yaakov sûr de lui, insista : “avec l’aide de D.ieu tout ira bien”
Le serviteur très inquiet expliqua au Rav: ” Cher Rav , ils ne se contentent pas de voler mais ils martyrisent leurs victimes, c’est vraiment dangereux!”
Le Rav répondit : “vous n’avez pas le choix, vous êtes mon serviteur et devez aller là où je vous le demande ”
Devant la certitude du Tsadik, le serviteur acquiesça et dirigea les ânes dans la direction que Rabbi Yaakov demandait.

Le Rav était assis sereinement sur son âne plongé dans son étude de Torah.

Encerclé par des voleurs

Rabbi Yaakov Abouhatsira Zatsl,que son mérite nous protège, le grand-père de Baba Salé était non seulement un homme versé dans la prière, d’une grande sainteté, il protégeait ses yeux de visions impudiques, il étudiait la Torah jour et nuit mais il se souciait aussi des plus démunis.
Il entreprenait souvent des voyages difficiles et très dangereux pour récolter de l’argent pour les pauvres.

Une histoire très connue nous montre la grandeur de ce Tsadik et surtout la grandeur de la Torah, car seul un homme qui marche à 100% dans les voies de D.ieu peut accomplir de tels prodiges.

Comme à son habitude, il partit loin pour récolter de l’argent pour les pauvres de sa ville, employa un guide arabe pour l’aider à tirer son âne et le diriger.
Ce que le Tsadik veut, Hachem le veut aussi, il réussit donc à ramasser une grosse somme d’argent.
Il demanda à son serviteur de passer par un chemin plus court pour rentrer chez lui, car son temps était bien évidemment compté et il ne pouvait pas se permettre de perdre une minute.
Le serviteur lui expliqua que ce chemin était impraticable car bien connu pour être emprunté par de dangereux voleurs assoiffés d’argent.
Rabbi Yaakov sûr de lui, insista : “avec l’aide de D.ieu tout ira bien”
Le serviteur très inquiet expliqua au Rav: ” Cher Rav , ils ne se contentent pas de voler mais ils martyrisent leurs victimes, c’est vraiment dangereux!”
Le Rav répondit : “vous n’avez pas le choix, vous êtes mon serviteur et devez aller là où je vous le demande ”
Devant la certitude du Tsadik, le serviteur acquiesça et dirigea les ânes dans la direction que Rabbi Yaakov demandait.

Le Rav était assis sereinement sur son âne plongé dans son étude

Les brigands ayant eu rumeur du passage du Rav avec tout l’argent qu’il avait récolté, étaient bien fidèles au poste, armés et décidés à piller le Rav.

Lorsqu’il les aperçut, le serviteur pris de panique entre ces malfrats et le Rav plongé dans son livre, qui ne levait même pas les yeux , s’échappa à toute vitesse et se cacha derrière un buisson pour observer ce qui allait arriver à Rabbi Yaakov.

Le Rav était encerclé par les voleurs et leur demanda calmement :” En quoi puis je vous aider?”
– « Nous voulons tout votre argent »
-« Allez-y, prenez le » répondit le Rav, serein
– « Nous allons aussi nous occuper de vous!!!!. »

Protégé par la mitsva

Les voleurs voulurent avancer, mais ils se trouvèrent figés au sol comme des statues, ils ne pouvaient plus bouger, pas même cligner des yeux. Le Rav remercia alors Le Maître du monde qui l’avait sauvé, il savait que sa mitsva (et la pureté de ses intentions) le protégerait.
Comme c’est écrit dans la Guemara: ” les émissaires d’une mitsva sont toujours protégés ”

Le serviteur avait assisté à la scène incroyable, il courut vers les brigands, essayant de les faire bouger mais c’était peine perdue !!
Il alla donc rejoindre le Tsadik.
Celui-ci lui dit sur un ton de colère : “Pourquoi t’es tu enfui? Je t’ai dit de ne pas avoir peur qu’il ne nous feraient rien, laissons les et partons!!”

De retour à la maison

Arrivé dans sa ville, tout le monde l’attendait et l’accueillit avec des chants et des honneurs.
Celui-ci ne raconta à personne ce qui s’était passé sur le chemin pour ne pas s’enorgueillir.

Les femmes des voleurs savaient qu’ils préparaient un guet-apens au Rav.
Lorsqu’elles entendirent que le Rav était bien arrivé chez lui, alors qu’elles, n’avaient aucune nouvelle de leurs maris, elles s’inquiéterent et allèrent les chercher sur le chemin.

En effet, elles trouvèrent leurs maris figés comme des statues.
Affolées, elles se mirent à la recherche du serviteur arabe qui accompagnait le Rav, espérant trouver des explications, une solution…

Les femmes des voleurs

“Je vous conseille d’aller voir le Rav, c’est lui qui a fait ça, peut-être il aura pitié de vous, priera pour vos maris et les sauvera”
Bien que honteuses, elles s’empressèrent de se rendre auprès du Rav pour implorer sa pitié.
“Allez les voir, dites leur que s’ils font téchouva, se repentent et décident sincèrement de ne plus voler et de gagner leur vie honnêtement. « Je prierai pour eux » leur dit le Tsadik.
Ce qu’elles firent. Les brigands prirent donc sur eux de ne pas recommencer , retrouvèrent l’usage de leur corps puis se séparèrent pour changer de vie en bien.

Voila la force du Tsadik, de la Torah, de la la prière, de la Tsedaka et de la Vérité.

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