_”Combien précieuse est Ta grâce, ô D.ieu ! Les fils de l’homme s’abritent à l’ombre de Tes ailes”._ (Tehilim 36,8)
Il est écrit à ce sujet dans le Midrach Ruth : *_” Vois la force des personnes qui accomplissent des actes de charité et de bienfaisance !_* _Elles ne s’abritent pas à l’ombre des ailes des Kerouvim (…), mais à l’ombre de Celui qui a parlé et par lequel le monde fut…”_
Lorsque le tribunal Céleste juge un homme, de nombreux anges de miséricorde qu’on appelle les Nedivim (les généreux) se tiennent à la droite du Trône de Gloire pour l’innocenter.
Malgré tout, ces anges sont imprégnés de l’attribut de justice.
*En revanche,* *lorsque Le Saint béni soit-Il juge seul*, la miséricorde est abondante.
Quand l’homme mérite-t-il d’être directement jugé par D.ieu?
Lorsque l’homme jugé est une personne bienfaisante (baal ‘hessed), *il éveille la racine de miséricorde en haut* et mérite que D.ieu soit son juge.
Si l’homme s’adonne à la Torah *ET* aux actes de bienfaisance, il éveille l’attribut de bienveillance Divine, et *lorsqu’il traversera un moment de malheur*, D.ieu sera son juge. Il le guidera avec bonté et *l’homme sera certainement sauvé*,
_(Enseignements du livre Ahavat Hessed et des Psaumes commentés par le Hafets Haïm)_
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