Médire de son prochain en son absence, tout en souhaitant qu’il n’en soit pas informé, revient non seulement à transgresser l’interdit de lachone hara, mais également à encourir la malédiction : « Maudit soit celui qui frappe son prochain dans l’ombre ! » (Devarim 27,24)
Celui qui étudie ces lois régulièrement bénéficie de l’aide du Ciel pour les mettre en pratique.
0 commentaires